À la tour abandonné... [Nata]

Nombre de messages : 22 Date d'inscription : 02/11/2008

Encore une journée passé seul, une journée bien calme malgré les grands vents de l'automne qui amenait les feuilles des arbres au loin. Puisqu'il passa une partie de cette journée seul dans la bibliothèque sans voir un chat, il changea d'endroit bien tranquillement et comme à ses habitudes. Il était pas pressé et aucune menace pour le moment menaçait Enkidiev. Faisant les cents pas au travers du château, parcourant lentement un bord jusqu'à l'autre le moindre recoin possible du château, il prit une sortie vers l'extérieur en observant les gens dans la grande cours, il osa même passé dans les tours des jeunes élèves en passant quasiment inaperçue malgré sa carrure énorme qui faisait tourner des têtes, personne l'interpelait à haute voix, préférant chuchoter entre eux. Cela fit légèrement sourire notre grand gaillard qui reste tout de même silencieux à cela, il inclina la tête vers le professeur avant de repartir continuer sa promenade. Par la suite, il marcha dans les remparts en observant la solidité de la pierre mais également afin de voir si quelconque passage secret existait par là. Trouvant rien du tout, il continua encore sa fameuse promenade de château dans la dernière tour, l'endroit où il était toujours rendu en soirée. Rendu en haut de cette fameuse tour, celle qui fut abandonné il y a des années et qui servait d'ancien cachot, notre chevalier chantait dans un langage elfique une genre de chanson de son crue qui provenait de son enfance.

"Cours dans les champs au loin au grand pré,
Ressent le vent parcourir les contrées,
C’est au loin qu’arrive le seigneur,
Se grand et valeureux chevalier,
Mais tous sembles en pleures,
Que s’est-il donc passer,
Un groupe de chevaliers amenant,
Les berceaux de leurs défunts camarades,
Et chantant en cœur les vœux et leurs mœurs,
Puisse leurs frères d’armes rejoindre le Seigneur.

Cours dans les champs au loin au grand pré,
Ressent le vent parcourir les contrées,
Puis recommence le cycle de la vie,
Tel un homme sortant de ses gonds,
Mais cela ne fait que débuté,
Le chant ne fini pas sur ses émotions,
Il doit se relever seul à présent,
Montré sa dignité du passé,
Reprenant le courage échappé,
Démontrant sa bravoure insensé.

Cours dans les champs au loin au grand pré,
Ressent le vent parcourir les contrées,
Sur les champs de la grande croisée,
Mais qui donc reviendra au combat,
Avec la tête haute et sans pleurer,
Probablement moi si je serais déjà grand,
Voulant apporté un aide impossible,
Tel les hommes ils sont si insensibles,
Pensant qu’à eux ils sèment les peines,
Récoltant par la suite que leurs souffrances,
Au fond leurs cœurs verses des larmes,
Mais devant leur bien aimé ils sont que de glace.

Cours dans les champs au loin au grand pré,
Ressent le vent parcourir les contrées,
Odéon revient leur montré,
Le grand soleil qui les ont réchauffés,
Les camarades du grand chevalier,
Montant la colline en haut dans le pré,
Se recueillant sur les croix qui y sont plantés,
Criant leur peine impossible à combler.

Une innocence se montre devant eux,
Éclairant le chemin qu’ils doivent parcourir,
C’est ainsi qu’ils finissent à se rassembler,
Pour enfin prouver se qu’on attend d’eux.
Courant dans les champs au loin au grand pré,
Tranchant l’ennemi qui revient en surnombre,
Mais leur foi impossible à briser,
Repoussant ceux-ci en criant leur victoire,
Ils marchant à présent dans les champs au loin au grand pré,
Ressentant le vent sur leurs visage basanés."

Ne sachant trop combien de temps il avait pu chanter les verres, mais seulement dans le ton profond de sa voix. On pouvait remarquer que la fameuse chanson faisait hommage aux chevaliers qui avait perdu la vie. Bien qu'il ne démontrait que rarement d'émotions sur l'expression faciale, on pouvait l'entendre facilement et voir que même derrière un visage indifférent, des émotions existait. Une présence semblait avoir fait son apparition vers son endroit, lui qui était d'habitude rapide autant sur l'analyse des situations que de remarquer si quelqu'un était par là. Peut-être bien car il connaissait la présence depuis tellement d'année qu'il portait plus vraiment attention avec le temps. Il tourna son regard semi bleu et semi verdoyant, bien qu'on le trouvait plus vert qu'autre chose en général. Mais il resta silencieux à nouveau, observant la femme qui avait fait son apparence dans la pénombre, en même temps que le soleil se couchait.

"Mes Salutations... Nataniëlla..."

Admin Nombre de messages : 53 Date d'inscription : 28/09/2008

Nataniella adorait regarder le coucher de soleil du haut des remparts.Elle regardait le soleil se coucher haut loin, quand une mélodie virent se rendre à ses oreille si fine étant un elfes...Elle retourna son regarde et sonda les alentours pour voir qui chantait, mais elle aurait du sens rendre compte.C'était son frère d'arme Eden.Elle écoutait la chanson:

Cours dans les champs au loin au grand pré,
Ressent le vent parcourir les contrées,
C’est au loin qu’arrive le seigneur,
Se grand et valeureux chevalier,
Mais tous sembles en pleures,
Que s’est-il donc passer,
Un groupe de chevaliers amenant,
Les berceaux de leurs défunts camarades,
Et chantant en cœur les vœux et leurs mœurs,
Puisse leurs frères d’armes rejoindre le Seigneur.

Cours dans les champs au loin au grand pré,
Ressent le vent parcourir les contrées,
Puis recommence le cycle de la vie,
Tel un homme sortant de ses gonds,
Mais cela ne fait que débuté,
Le chant ne fini pas sur ses émotions,
Il doit se relever seul à présent,
Montré sa dignité du passé,
Reprenant le courage échappé,
Démontrant sa bravoure insensé.

Cours dans les champs au loin au grand pré,
Ressent le vent parcourir les contrées,
Sur les champs de la grande croisée,
Mais qui donc reviendra au combat,
Avec la tête haute et sans pleurer,
Probablement moi si je serais déjà grand,
Voulant apporté un aide impossible,
Tel les hommes ils sont si insensibles,
Pensant qu’à eux ils sèment les peines,
Récoltant par la suite que leurs souffrances,
Au fond leurs cœurs verses des larmes,
Mais devant leur bien aimé ils sont que de glace.

Cours dans les champs au loin au grand pré,
Ressent le vent parcourir les contrées,
Odéon revient leur montré,
Le grand soleil qui les ont réchauffés,
Les camarades du grand chevalier,
Montant la colline en haut dans le pré,
Se recueillant sur les croix qui y sont plantés,
Criant leur peine impossible à combler.

Une innocence se montre devant eux,
Éclairant le chemin qu’ils doivent parcourir,
C’est ainsi qu’ils finissent à se rassembler,
Pour enfin prouver se qu’on attend d’eux.
Courant dans les champs au loin au grand pré,
Tranchant l’ennemi qui revient en surnombre,
Mais leur foi impossible à briser,
Repoussant ceux-ci en criant leur victoire,
Ils marchant à présent dans les champs au loin au grand pré,
Ressentant le vent sur leurs visage basanés."

La chanson prit fin.Elle partie des remparts et marcha lentement vers la tour qui était situer quelque mètre plus loin, mais avant elle fonctionnait pour un cachot.C'était son endroit préférer, quand elle avait besoin d'être seul.Elle était le chef des chevaliers et les autres se confiat à elle si facilement, qu'elle se sent très coupable de ne pas parler avec ses soeurs et frères d'arme de sa vrai nature, princesse des elfes.Nataniella arriva dans la tour et sortit de la pénombre et découvrit Eden.Elle déclara:

-Je ne me suis pas tromper...

Elle eut un magnifique sourire.Elle s'approcha et déclara:

-Bonsoir Eden.Que faites-vous dans cette tour à cette heure si.Se n'est point un reproche rasuré vous, je suis tout simplement curieuse de nature.
Elle alla à la fenêtre qui surplombait la cour qui se fesait très silencieuse.Elle jeta un coup d'oeil derrière en regarde Eden, elle lui fit signe de se joindre à elle.

[Désoler poste minable]

Nombre de messages : 22 Date d'inscription : 02/11/2008

Puisqu'il était assis sur le rebord de la tour depuis des lustres soit dit en passant, il se redressa lentement en glissant un pied au sol, s'approchait de la fameuse demoiselle et qui plus est l'ancienne princesse des elfes. Courtois de nature, il était fils d'un Duc après tout donc il connaissait bel et bien les bonnes manières, malgré que cela remontait à bien loin, il avait toujours agit ainsi depuis ses cinq ou six ans. Quand il fut tout près de la demoiselle, il s'inclina en allant chercher la main de celle-ci pour y glisser ses lèvres, après quoi il glissa la main de celle-ci à son bras la rejoignant vers la fenêtre. Mais si nous allons aux détails près, l'armure était dans sa chambre, il ne portait donc qu'un genre de haidate en coton noir avec rien d'autre sur le reste du corps outre ses bottes longues.

"Je suis pourtant très souvent ici, mais en général on ne me remarque pas vraiment malgré cette stature imposante... Malgré cela, je suis bien fière d'être aussi imposant que mon père le fut tout en ayant la finesse de ma mère... Cela remonte bien loin tout de même, à un point tel que leur visage se sont assombrie par le temps... Avez vous pu obtenir la fameuse date d'attribution des écuyers ou bien nos magiciens sont toujours aussi silencieux et ne veule point les relâcher...?"

Il eu un très bref sourire éphémère sur le bord des lèvres, son regard lui s'était perdu sur le soleil quasiment couché au complet. Les étoiles allaient bien évidemment apparaitre assez tôt, mais il glissa son regard sur la demoiselle qui pour sa part observait la cour plutôt déserte.

"Il faut regarder au loin et non à ses pieds..." Dit-il dans un bref murmure à l'oreille de Nataniella.

Admin Nombre de messages : 53 Date d'inscription : 28/09/2008

Nataniella rougit à la courtoisie de Eden.Ils étaient sur le rebord de la fenêtre et Eden déclara:

"Je suis pourtant très souvent ici, mais en général on ne me remarque pas vraiment malgré cette stature imposante... Malgré cela, je suis bien fière d'être aussi imposant que mon père le fut tout en ayant la finesse de ma mère... Cela remonte bien loin tout de même, à un point tel que leur visage se sont assombrie par le temps... Avez vous pu obtenir la fameuse date d'attribution des écuyers ou bien nos magiciens sont toujours aussi silencieux et ne veule point les relâcher...?"

Elle eut un léger sourire.Ses vrai que cette homme était imposant.Personne ne savait que s'était la princesse des elfes, sauf Eden, car lui même est un elfe, plutôt un demi-elfe, mais au yeux de Nata cela ne fait aucune différence.Elle déclara:

-Non, je ne sais point quand les élèves vont être adouber, mais cela ne risque de tarder, mais bien sur les magiciens, garde cela très secret pour ne pas...Finalement je ne sais même pas pourquoi ils gardent cela secret.Et vous avez vous hâte d'avoir un enfant sous votre aile.

Elle retourna sont attention toujours en regardant la cour.Le soleil était pratiquement couçher, puis le chevalier déclara:

Il faut regarder au loin et non à ses pieds..."

déclara t-il au creu de l'oreille de la chef des chevaliers.Un léger sourire alla se poser sur la visage de la jeune femme.Elle monta le regard et regarde la lueur du soleil partir et s'éteindre.[/i]

Nombre de messages : 22 Date d'inscription : 02/11/2008

Hâte d'avoir un enfant sous son aile ? Menelossë n'avait pas réfléchit à cette question. Au contraire, il se demandait comment il allait enseigner à manier l'épée à un écuyer quand lui maniait qu'une hache énorme qui devait faire une demi tonne. Cela le fit sourire légèrement en y repensant une deuxième fois, il devait donc s'entrainer à l'épée avant la nomination des écuyers pour les chevaliers. Mais où trouver une fameuse épée vous me direz? Le plus simple serait le forgeron qui travail pour les chevaliers sans aucuns doutes. Mais une épée de bois en revanche serait amplement suffisant pour débuter les leçons, donc parer de l'épée plus qu'autre chose. La tâche finalement était plutôt facile, mais plus tard cela serait de vrai épées de métal avec quoi ils s'entraineraient. Sortant de son univers après à peine quelques instants pensif, il fini par répondre à la douce jeune femme à ses côtés.

"Je m'imaginait essayer d'apprendre le maniement de l'épée à un écuyer, quand moi j'utilise une hache. Puisque cela ne fait pas parti des armes de l'Ordre, j'imagine que je devrai demander quelques cours privés sur le maniement de l'épée. Sans compter en avoir une à ma taille, je me doit de me précipiter au forgeron demain matin dans les plus bref délais pour l'avoir prochainement. Je risque d'être fort occupé bientôt on dirais bien... Et vous belle demoiselle, vous avez hâte d'avoir un jeune adolescent à votre charge pour lui montrer les chemins de la chevalerie?"

Admin Nombre de messages : 53 Date d'inscription : 28/09/2008

Nataniella était toujours à l'écoute et attendait la réponse de Eden, elle le regardait et eu un léger sourire quand il déclara:

"Je m'imaginait essayer d'apprendre le maniement de l'épée à un écuyer, quand moi j'utilise une hache. Puisque cela ne fait pas parti des armes de l'Ordre, j'imagine que je devrai demander quelques cours privés sur le maniement de l'épée. Sans compter en avoir une à ma taille, je me doit de me précipiter au forgeron demain matin dans les plus bref délais pour l'avoir prochainement. Je risque d'être fort occupé bientôt on dirais bien... Et vous belle demoiselle, vous avez hâte d'avoir un jeune adolescent à votre charge pour lui montrer les chemins de la chevalerie?"

Elle déclara part la suite:

-Pour ton épée, tu n'auras qu'a aller chez le forgeron, tout cela va être posible dès demain, car en se moment ses fermer.Mais tu demanderas à un chevaliers t'aider pour manier l'épée.

Elle alla s'asseoir sur le plancher en invitant Eden près d'elle.Le sol était glacer comme le sang d'un mort et était peux confortable, mais étant endurant, elle déclara:

-Moi, se que j'adore le plus après protéger Enkidev dans le rôle de chevalier et de prendre un écuyer sous mon âile, alors oui, la réponse est oui , j'ai le bonheure de faire.

Nombre de messages : 22 Date d'inscription : 02/11/2008

Évidemment, il avait pensé au forgeron avant même qu'elle ne lui mentionne, il sourit donc légèrement tout en continuant d'observer l'endroit quelque bref moments. Ensuite de quoi il suivit l'invitation que la femme lui donna, prenant place juste à côté de celle-ci. Pour sa part, aucune grande réaction ne vint malgré que la roche était froide et qu'il avait le dos quasiment à l'air libre. Mais observant la demoiselle de plus près, celle-ci pouvait bien se mourir de froid quand même, elle était une femme quoi. Mais au lieu de l'inviter, celle-ci avait déjà reprit son petit discours et il décida simplement d'écouter la belle voix de cette dernière.

- Être en adoration avec ce que l'ont fait est un bon signe, mais trop cela ne serait bon pour votre santé à mon avis. On peu aimer accomplir une destinée, dont celle que notre ordre a sur les épaules depuis la nuit des temps, sans pour autant en devenir adorateur. Puis-je vous inviter à prendre place sur mes genoux? Je n'aimerais point que vous attrapez un rhume.