Promenade (euh on va dire libre ..)

Stan' marchait à son habitude dans le château, il pensait à avoir un écuyer, pour lui apprendre comment se battre évidement, mais aussi comment se comporter en chevalier, un chevalier obéït certes aux rois, mais il doit aussi obéïr au peuple, l'aider, car les paysans ont souvent besoin d'aide, et Stan' se fait un plaisir de les aider dans leur tâche quotidienne. Peut-être que ses frères et soeurs d'armes ne voyaient pas cela pareil, il se demanda si il serait un bon maître, il arrivait près du grand Hall d'entrée du château, surement y aurait-il quelqu'un là-bas, avec qui il pourrait parler, de préférence un frère ou une soeur d'arme, il pensa à leur chef Nataniella, qui était très respectable, même si point de vue carrure, Stanislas n'avait pas grand chose à craindre, il l'écoutait toujours et la respectait énormément, il respectait aussi sa soeur d'arme Akiata, très belle jeune fille d'ailleur et surtout très sympathique. Il arriva dans le hall, regarda si il y avait quelqu'un qu'il connaissait et repèra Akiata qui arrivait de l'autre côté il ne savait pas trop s'il devait lui parler ou pas, il se sentait toujours plus mal à l'aise avec elle, et il savait pas vraiment pourquoi, mais s'il partait elle allait se douter de quelque chose, alors il dit :

-Bonjour Akiata, en essayant de ne pas trop laisser paraître son malaise, tu vas bien ?

Il attendit qu'elle lui réponde.

-Bonjour Akiata

Elle ne s'y attendait pas du tout. Bloquant ses pensées elle sursauta et se retourna d'un bloc.


- Bonjour Stanislas. TU m'a un peu surprit je n'avais pas remarquer que tu étais arrivé.

Elle fit une sorte de moue significative. Elle le détailla encore une fois, grand blond et musclé. Bref, il ne laissait pas Akiata indifférente, et elle commençait à comprendre ses vrai sentiments à l'égard du chevalier. Le soleil dans les cheveux, il paraissait encore plus grand.

*Pour vu qu'il n'ai pas entendu mes pensées. Pour vu qu'il n'ai pas entendu mes pensées. *

Elle se senti rougir de gêne. Pourtant il était l'un des ses frères d'arme, elle ne se laissait pas facilement intimider. Vrai tête de mule, elle était connue pour ne pas changer d'avis, même Nataniella avait du mal à la faire fléchir de ses positions. Elle décida de parler ayant peur que son silence paraisse impoli.


- Belle journée n'est-ce pas ?.

Et elle fronça le nez.

Stan' sentit qu'elle avait bloqué ses pensée, mais ne dit rien, elle lui répondit :

- Bonjour Stanislas. TU m'a un peu surprit je n'avais pas remarquer que tu étais arrivé.

Il souria un instant, il sentait ses yeux qui le fixait, il commençait à y avoir un silence entre eux deux, il se sentait encore plus mal à l'aise, il ne savait pas pourquoi, elle était plus jeune que lui, et c'était une de ses soeurs d'arme, il devait pourtant pouvoir lui parler sans avoir de gêne, il réfléchissait à tout cela quand Akiata dit :

- Belle journée n'est-ce pas ?

Il regarda par une fenêtre, en effet, il faisait très beau aujourd'hui, il plissa les yeux car il avait le soleil dans la figure, s'avança un peu d'Akiata en même temps et dit :

-Oui, il fait très beau aujourd'hui, je me promenais dans le château, non je ne m'entraîne pas tout le temps, dit-il en souriant, j'aime bien le repos aussi, sauf quand il dure trop longtemps... Et toi, que faisais-tu ?

Il observa ses boucles brunes et sa cuirasse de l'ordre, qui lui allait très bien, et la fixa dans les yeux un instant, essayant de savoir à quoi elle pensait en ce moment.

-Oui, il fait très beau aujourd'hui, je me promenais dans le château, non je ne m'entraîne pas tout le temps, j'aime bien le repos aussi, sauf quand il dure trop longtemps... Et toi, que faisais-tu ?

Akiata sourit et même rigola. On disait d'elle qu'elle était têtue mais on disait de Stanislas qu'il passait son temps à s'entraîner.

- Moi je revenais de la bibliothèque dans le but de prendre l'air. Tu devrais peut être d'entrainer tout le temps si tu veux me battre à chaque fois.

Elle sourit toujours en pensant à leur dernier combat, elle avait gagné à pas grande chose près. Elle débloqua ses pensées pensant qu'elle ne risquait pas de faire e bourde mais à peine elle eut reposé les yeux sur lui que. Elle ne se rendit pas compte de ce qu'elle pensait et heureusement si non o l'aurait confondu avec une tomate.

-Oui je m'entraîne pour notre prochain combat, si tu tiens à ce qu'il y en ai un autre biensur, à la bibliothèque tu dis et pour prendre l'air, pour moi, aller prendre l'air, c'est aller dehors... Je me demande si il y a des livres qui pourrait m'apprendre une ou deux nouvelles techniques pour te battre

- Bien sur !

-Pourquoi bloquais-tu tes pensées Akiata ? Tu as peur de moi maintenant ?

Akiata se sentit devenir toute rouge. Pourquoi cette question ? Elle allait lui expliquer comment, elle ne pouvait pas lui mentir.

- Tu m'a surprise alors j'ai bloqué mes pensées. Je te rassure je n'ai toujours pas peur de toi.

Elle détourna les yeux, incapable de soutenir son regard plus longtemps. Elle avait chaud et restait rouge. Pourquoi lui ? Le chevalier qui lui était le plus proche et elle l'aimait. Elle n'avait pas de chance. En plus, elle n'allait pas, encore, lui bloquait ses pensées mais elle ne pouvait s'empêcher de penser qu'elle l'aimer.

-Et bien je m'excuse de t'avoir surprise, j'espère bien que tu n'as pas peur de moi, je n'aimerais pas qu'une de mes soeurs d'armes ai peur de moi, je sens pourtant que tu ne m'as pas tout dis et que la surprise n'est pas la seule raison... je ne me trompe pas ?

Mince alors. Si elle était rouge avant, là elle était en feu. Elle passa une main dans ses cheveux comme toujours quand elle est gênée. Les yeux vers le sol, elle réfléchit rapidement à quoi dire. Finalement elle prit la parole se surprenant elle même.

- Tu as raison, malheureusement pour moi. Si tu veux savoir fouille mes pensées parce que je crois pas réussir à le dire.


Elle savait qu'elle ne devait pas faire de secret à ses frères d'armes, sauf sur certains points , il avait mi le doigt sur l'un d'eux. Comme par réflexe elle serra la poignet de son arme puis craignant de faire peur elle la retire.

Akiata devint plus que rouge, apparament, ce devait-être quelque chose de très important, elle lui dit :

- Tu as raison, malheureusement pour moi. Si tu veux savoir fouille mes pensées parce que je crois pas réussir à le dire.

Stan' la regarda, elle mit sa main sur la garde de son épée, geste qu'il remarqua de suite, elle enleva sa main, il en fut soulagé. Il dit :

-Je ne veux pas te forcer à me dire ce que tu as, ni aller le chercher dans ton esprit, je ne suis pas comme ça, alors si tu ne veux pas me le dire, ne me le dis pas, ce doit-être très important pour toi...

Il prit son menton et le remonta pour qu'il puisse regarder son visage. I lui souria, surtout pour lui faire plaisir, mais enfait il réfléchissait à un moyen de lui faire dire ce qu'elle lui cachait, il ne voulait pas utiliser ses pouvoirs pour ça, même si cela aurait été plus rapide...

[ Désolé c'est très court ]

-Je ne veux pas te forcer à me dire ce que tu as, ni aller le chercher dans ton esprit, je ne suis pas comme ça, alors si tu ne veux pas me le dire, ne me le dis pas, ce doit-être très important pour toi...

Il lui releva le visage et lui sourit. Elle sourit aussi. Il était compréhensif et gentil avec elle, il avait bien vu qu'elle était gênée. Akiata sourit toujours aussi gênée. Elle ouvrit la bouche et le referma, elle sembla réfléchir et s'était pas faut. Elle allait comme même pas lui dire qu'elle l'aimait.


- Je... je suis trop gênée, c'est pas mon habitude.

Elle disait vrai. Son regard était accroché à celui de son frère d'arme, ses yeux bruns plongé dans les magnifiques yeux couleur jaune de Stanislas.

Il fut content qu'elle sourit puis elle lui dit :

- Je... je suis trop gênée, c'est pas mon habitude.

Elle le fixa, avec ses yeux bruns, il ne put s'empêcher de lui sourire, il réfléchit un moment, puis dit alors :

-Tu sais Akiata, tu comptes beaucoup pour moi, mais ce n'est pas comme avec nos autres frères et soeurs d'armes... avec toi c'est différent, j'aime quand tu souris... je suis encore plus gêné que toi...

Il n'arriva pas à finir, il la fixa, ses yeux jaunes étaient plus pétillant que jamais, il avait chaud, il aurait voulu que tout soit plus simple, qu'il arrive à lui dire ces mots, qu'il l'aimait, mais il n'y arrivait pas, il baissa les yeux, essayant toujours de dire ce qu'il voulait dire.

*Tout est si compliqué... qu'elle est belle... Akiata...je t'aime*

-Tu sais Akiata, tu comptes beaucoup pour moi, mais ce n'est pas comme avec nos autres frères et soeurs d'armes... avec toi c'est différent, j'aime quand tu souris... je suis encore plus gêné que toi...

Elle lui sourit avec tendresse. Son instinct maternelle prit le dessus et elle le regarda avec compassion.

- Moi aussi j'aime quand tu souris. ça me fait plaisir que tu me souris. Je... je suis...

Elle laissa sa phrase en suspend quelque secondes, elle n'y arrivait pas. Elle s'approcha de Stanislas et lui prit la main. Elle posa sa tête sur la poitrine de son frère d'arme et laissa ses sentiments déferler. Elle eut elle même du mal à tenir debout.

- Voilà, tu sais tout.

Elle avait dit ça d'une toute petite voix, rassurante et amoureuse.

-Je suis heureux que tu partages mes sentiments tu sais... j'avais peur que tu ne m'aimes pas... J'ai toujours éprouvé des sentiments pour toi...

Elle eut un petit rire étouffé. Ca faisait des mois, non des années, qu'elle l'évitait le plus possible, assez dur pour tout dur. Elle avait peur, peur qu'il ne ressent rien pour elle. Elle était soulagée, elle releva la tête et le regarda. Prise d'une soudaine impulsion, elle se mit sur la pointe des pieds et déposa un baiser dur sa joue.

- Moi aussi je suis heureuse. J'avais peur depuis le premier jour que je t'ai vu.

Stan' regardait Akiata, elle paraissait très heureuse, soulagée aussi, il ne savait pas pourquoi mais peut-être le saurait-il bientôt, lorsqu'elle se mit sur la pointe des pieds, pour lui doner un baiser sur la joue, il ne put s'empêcher de rire, elle lui dit :

- Moi aussi je suis heureuse. J'avais peur depuis le premier jour que je t'ai vu.

Il répondit directement après :

-Tu n'as plus à avoir peur maintenant, puis-je savoir pourquoi tu avais peur ?

Il la serra un peu plus fort dans ses bras et déposa un baiser sur son front, et attendit qu'elle lui réponde en regardant son visage.

[ Désolé mais j'avais pas d'inspiration du tout du tout pour ce poste pour le prochain je ferais mieux ! ]

-Tu n'as plus à avoir peur maintenant, puis-je savoir pourquoi tu avais peur ?

Elle rigola, il était sincère mais il connaissait déjà la réponse.


- A ton avis ? J'avais peur de toi, évidement ! Bah non, j'avais peur que tu m'aime pas.

Elle se décolla de lui mais garda sa main. Elle l'attira sur la pas de la porte, au soleil. Son cœur s'emballa du simple fait de sa proximité. Elle se mit de façon à qu'il n'ai pas le soleil dans les yeux et elle aussi. Elle était rayonnante et son sourire ne quittait pas son visage.

* Qu'est-ce qu'il est beau !*

Elle soupira et le sera contre elle dans une entrainte forte comme si elle avait peur de le perdre, ce qui n'est pas faux.

-Merci, tu es très belle toi aussi tu sais...

Elle devint toute rouge, elle savait très bien que tout leurs compagnons pouvaient entendre ses pensées mais elle avait du mal à s'y faire, surtout pour ce genre de pensées. De sa main libre, elle ramena encore sa mèche de cheveux derrière son oreille.

-Ne t'en fais pas, tu ne risque pas de me perdre, je suis à tes côtés et je ne te quitterais jamais, même si nous sommes des soldats et que nous mettons notre vie en jeu pendant les missions, tu n'as rien à craindre, je ne laisserais jamais un insecte me tuer et surtout te tuer, Akiata, je t'aime...

Elle devint soudain très sérieuse, elle n'avait jamais envisagée qu'elle ou un des autres chevaliers pouvaient mourir aux combats, elle s'assombrit quelque instants avant de sourire de nouveau.

- Je reste meilleur combattante que toi. Ni toit ni moi ne mourrons au combat, c'est promit. Je t'aime aussi.

- C'est vrai, c'est plutot toi qui devra me protéger dans ce cas là...

Elle rigola aussi, c'était pas vraiment drôle. A Emeraude de vieux conte racontant l'amour d'une femme pour un chevalier existaient encore, le chevalier protégeait la femme, elle pensa que là c'était l'inverse et rigola encore de bon coeur. Elle remarqua aussi les serviteurs et ça la fit sourire, déjà d'habitude il regardaient bizarrement les chevaliers alors maintenant. C'est vrai que deux chevaliers qui s'enlacent aux regards de tous c'est rare.

-Nous allons bientôt avoir nos écuyers je pense, une nouvelle tâche de plus à accomplir pour nous, mais cela fait partie de notre rôle de chevalier, et avoir à sa charge un adolescent turbulent doit-être assez drôle je pense.

- Je suis une adolescente turbulente, donc une, ou un, à former. J'espère qu'il sera bon en magie car je risque pas de lui apprendre grand chose de ce côté là, par contre à l'escrime...


Elle se perdit momentanément dans ses pensées...

-Je suis sur que tu seras un très bon maître ! Comme tous les chevaliers de l'ordre d'ailleur... Pour ma part, je lui apprendrais ce que je sais, le reste, il le découvrira par lui même... ou elle d'ailleur... Puisque nous ne savons pas si nous allons avoir un garçon ou une fille comme apprenti...


Akiata lui sourit et réfléchit. C'est vrai qu'ils seraient surement tous des bon maîtres. La question du sexe de leur élèves était quasiment résolu, les hommes aurait des écuyers et les femmes des écuyères, sauf cas exceptionnel. Homme et femme, façon de parler, ils n'étaient qu'un groupe de grand ado.

- Que dirais-tu d'une petite promenade, histoire de mieux se connaître ?

- Va pour la promenade, c'était pour ça que j'aillais sortir. Quant à se connaitre, je te rappelle que nous somme frères (et soeur ) d'armes. On devrait déjà se connaitre.

Elle sourit, c'est vrai qu'aucuns de ses frères na savait certains points de son existance. De toute façon le magicien et elle avaient décidé de garder ça sous le silence et elle s'en portait mieux. Cela restait douloureux pour elle. Gardant la main de Stanislas dans la sienne, elle sorti dans la cour, toute souriante.

-Oui c'est sur, mais tu m'as très bien éviter, à tel point que je ne sais pas grand chose de toi, à mon grand regret, alors ce sera une bonne occasion de se connaître.

- je suis très douée pour me cacher.

Elle sourit, elle sonda Stanislas sans même s'en rendre compte. Ainsi les serviteurs pensaient qu'ils formaient un joli couple, elle sourit encore plus. Elle traina Stan' jusqu'à un ban et s'y assit avec grâce.


-Alors, par où veux-tu commencer ? Je te propose de nous poser chacun notre tour des question l'un sur l'autre, biensur, on ne peut pas mentir puisque je peux lire dans tes pensées et toi aussi, mais je pense que ça ne sert à rien de mentir à ceux que l'on aime..


- Commence par le début, comme veut la logique. Je pose une condition, rien sur mon passé avant Émeraude, stp. Et tu as raison, c'est mal de mentir. Alors à toi de me questionner, tu as le droit à trois questions puis c'est mon tour.